Le mont Fuji dominant le paysage de l’archipel japonais a inspiré de nombreux artistes. Il a d’ailleurs été inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco au titre de lieu sacré et source d’inspiration artistique en 2013.
Cette icône de la nature suscite les premières transcriptions de variations atmosphériques par Hokusai, près d’un demi-siècle avant les effets de lumière de Claude Monet ou d’Alfred Sisley.
Graphique, le Fuji est un élément fort de l’estampe japonaise puis de la jeune photographie. La neige éternelle sur ses pans met au défi les artistes désireux de retranscrire l’étouffement de la nature et de ses bruits. Ce que feront quelques décennies plus tard les impressionnistes inspirés par le « pays de neige ». Le Musée Guimet dévoile ainsi quelque 70 estampes japonaises très peu présentées car extrêmement fragiles et particulièrement sensibles à la lumière. Si la plupart des œuvres proviennent des collections du Musée Guimet et de ses archives photographiques, le reste provient de prêts du Musée national d’art moderne et de la Cité de la céramique Sèvres-Limoges.
>> Jusqu’au 12 octobre au Musée Guimet
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