Le fondateur de Lexilife, Jean-Baptiste Fontes, s’est appuyé sur la découverte de deux chercheurs physiciens sur les dyslexiques pour mettre au point son produit.
Les dyslexiques auraient en effet deux yeux symétriques ou dominants, ce qui les empêche, par exemple, de distinguer les « p » des « b » en raison de la symétrie de ces lettres.
Grâce à une lumière étudiée, la lampe Lexilight trompe le cerveau et rétablit une asymétrie entre les deux yeux. Elle s’accompagne d’une application avec différents services pour les dyslexiques : coordonnées des orthophonistes et des associations les plus proches de chez vous par exemple.
Aujourd’hui, l’entreprise de Saint-Malo cherche à faire certifier sa lampe comme dispositif médical, ce qui autoriserait notamment son remboursement. Répondant à une logique d’inclusion, la fabrication de la Lexilight est assurée par des travailleurs adaptés.
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