Le fondateur de Lexilife, Jean-Baptiste Fontes, s’est appuyé sur la découverte de deux chercheurs physiciens sur les dyslexiques pour mettre au point son produit.
Les dyslexiques auraient en effet deux yeux symétriques ou dominants, ce qui les empêche, par exemple, de distinguer les « p » des « b » en raison de la symétrie de ces lettres.
Grâce à une lumière étudiée, la lampe Lexilight trompe le cerveau et rétablit une asymétrie entre les deux yeux. Elle s’accompagne d’une application avec différents services pour les dyslexiques : coordonnées des orthophonistes et des associations les plus proches de chez vous par exemple.
Aujourd’hui, l’entreprise de Saint-Malo cherche à faire certifier sa lampe comme dispositif médical, ce qui autoriserait notamment son remboursement. Répondant à une logique d’inclusion, la fabrication de la Lexilight est assurée par des travailleurs adaptés.
TOO#39
D’utilité mode, avoir à disposition un maillot de bain scrupuleusement choisi sonne comme une évidence…
Au grand régal des plats de l’été, le gazpacho se défend plutôt bien. On s’entiche…
Non ce n’est pas une blague, le réseau social TikTok a lancé sa fonctionnalité d’achat…
En jean, en lin ou molleton, le short sait se montrer au cours de la…
Comme souvent la gourmandise est notre moteur. Encore à quelques encablures de la fête nationale…
Hiver comme été, tout bon gourmand s'adapte aux contraintes extérieures. Un cercle vertueux et succulent…