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L’histoire des tropéziennes, ces sandales courues pour l’été

Rien n’arrête la popularité de Saint-Tropez, certainement pas son Gendarme qu’on ne présente plus et un autre monument de la région que votre dressing doit affectionner tout particulièrement en cette période estivale. Découvrez sans plus attendre l’histoire des tropéziennes, ces sandales phares qu’on envie à tout Saint-Trop !

L’histoire des tropéziennes, ces sandales au succès jamais démenti

Perle de la Méditerranée, Saint-Tropez abrite un autre trésor, il s’agit là des tropéziennes. À revêtir, précision oblige.

Quoi qu’étant un régal pour les yeux, l’histoire de ces célèbres sandales en cuir à lanières si caractéristiques n’est rien sans l’héritage de l’atelier Rondini.

En effet, avant de devenir une véritable institution presque centenaire, ce phénomène de la chaussure a connu des débuts modestes avec monsieur Rondini, père.

C’est au cours de l’année de naissance de son fils Serge en 1927, que l’idée de se lancer dans la sandale effleure Dominique Rondini.

Ainsi, sont nées les tropéziennes classiques, composées de quatre brides horizontales et une bride verticale.

Puis, la passion du cuir et des sandales va très rapidement devenir une affaire de famille. Et la relève est assurée.

Tout naturellement, Serge Rondini qui est tombé dans les tropéziennes étant petit, a ensuite choisi de faire perdurer l’héritage familial.

Quand la French Riviera rhabille son monde

Maîtres artisans depuis 1927, les Rondini n’en restent pas moins pas moins à la page.

Notamment par la création de modèles moins conventionnels. Alors Mesdames, à vous les sandales Salomé Cuir, la Serpent Chevreau, ou encore la Bikini Box pour vous démarquer avec des valeurs sûres !

Copieusement imitée à travers le monde, la plus ancienne maison de sandales tropéziennes sur la place de Saint-Tropez concerve certains atouts dans sa manche.

Parmi lesquels, un savoir-faire tropézien gardé intact de génération en génération et une qualité affirmée malgré un succès pérenne.

Avec un atelier labellisé Entreprise du Patrimoine Vivant, les Tropéziennes Rondini appellent des cuirs à semelle français tannés à l’écorce de chêne pendant 12 mois.

Soit un matériau noble, garant d’une certaine solidité mais également d’un confort qui pousse à l’adhésion.

Une précision importante, seuls les ateliers Rondini et K.Jacques sont à même de confectionner des authentiques Tropéziennes à Saint-Tropez.

Aussi, la cote des Tropéziennes ne faiblit pas, si bien que pour sûr, elles vont encore en chausser beaucoup cet été !

Quitte à porter des tropéziennes, si la pédicure est d’actualité ne manquez pas notre article sur les vernis les plus tendances de la saison !

Amélie Rivet

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Amélie Rivet

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