C’est la deuxième fois que la Fondation Cartier invite l’artiste américaine Sarah Sze pour dialoguer avec les espaces transparents du bâtiment iconique de Jean Nouvel.
Internationalement reconnue pour son œuvre défiant les frontières entre peinture, sculpture et architecture, Sarah Sze assemble des objets du quotidien et des images en mouvement dans des installations aussi délicates que complexes.
Elle explore la manière dont la prolifération des images issues des magazines, du web ou prises depuis l’espace, engage et transforme le quotidien, notre relation aux objets, au temps et à la mémoire. Brouillant les frontières entre intérieur et extérieur, mirage et réalité, passé et présent, les œuvres exposées font perdre au visiteur tout repère et toute notion de temps en raison de leur nature à la fois architecturale, filmique et sculpturale. Inspirées du planétarium et du pendule – des modèles scientifiques conçus dans notre quête de connaissance du cosmos –, les sculptures de Sarah Sze tentent de représenter les insondables concepts de temps et de mémoire.
Les images diaphanes et fragmentaires de l’installation apparaissent et disparaissent, se désintègrent et s’évaporent, à l’instar des images floues et décousues qui peuvent surgir de notre mémoire.
Du 24 octobre 2020 au 7 mars 2021 à la Fondation Cartier.
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