La start-up rouanaise Lili for life s’est appuyée sur les découvertes de deux chercheurs de l’université de Rennes (Albert Le Floch et Guy Ropars) pour développer une lampe magique pour les dyslexiques. La trouvaille de ces scientifiques ? Les non-dyslexiques lisent avec un œil directeur, dit « dominant », alors que les dyslexiques ont deux yeux directeurs, ce qui crée des superpositions d’images et complique la lecture.
Le dispositif d’éclairage imaginé par la start-up génère artificiellement un décalage entre l’instant de perception de l’image par les deux yeux, pour que les images ne remontent pas au cerveau de façon concomitante. Cette lampe nomade est mise en vente depuis le début de l’année au prix de 349 euros. À quand une prise en charge de la Sécurité sociale ?
TOO #46
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